L’hyperglycémie Post-prandiale

La phase d’hyperglycémie PP correspond à une forte augmentation de la glycémie consécutive à la prise d’un repas du fait de l’effet hyperglycémiant des aliments.

Il apparait essentiel, même chez les patients diabétiques apparemment bien équilibrés (HBA1c < 7,5%) d’insister sur l’amélioration de la glycémie PP. En effet, se satisfaire d’un résultat globalement satisfaisant serait une grave erreur au vu des résultats de différentes études.

L’hyperglycémie PP induit plus spécifiquement un risque cardio-vasculaire élevé, avec une multiplication par 4 de l’incidence d’infarctus du myocarde.

La période niche que constituent les repas n’est aujourd’hui pas ou peu prise en charge du fait du nombre important de paramètres susceptibles d’intervenir (quantité de carbohydrates absorbés, unités d’insuline administrées, glycémie pré-prandiale, efforts physiques, état général et/ou hormonal, stress…).

 

Conséquences sur la santé

Les phases de glycémie trop élevée sont en effet à l’origine de la majorité des complications liées au Diabète

intérêt d’agir sur la durée des HPP

Les Hyperglycémies Post-Prandiales (HPP) constituent la majeure partie des hyperglycémies chez le patient diabétique. Malgré le panel thérapeutique mis à disposition des patients aujourd’hui, cette période niche que constitue le repas et la période qui s’ensuit n’est pas ou peu prise en charge aujourd’hui.

L’organisme passe environ 14 heures par jours en période post-prandiale.

Afin de gérer au mieux la maladie et les effets secondaires qui lui sont liés, il est primordial d’avoir une bonne gestion de l’hyperglycémie. 

La réduction significative de la durée de l’hyperglycémie PP se traduira également immédiatement par une meilleure qualité de vie des patients au quotidien (diminution du stress et de l’anxiété).

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