L’auto-surveillance glycémique reste primordiale dans le maintien de l’équilibre glycémique et représente l’objectif principal de la prise en charge du diabète.

La détection brutale de la maladie représente une véritable onde de choc au sein du cercle familial;
très rapidement il apparait que :

1   la prise en charge thérapeutique est très invasive.

2  la posologie est influencée par de nombreux paramètres
et pas uniquement par la quantité de carbohydrates absorbés. 

Les traitements qu’ils soient sous la forme d’insulinothérapie fonctionnelle (pompe à insuline), ou d’administration pluri-quotidienne d’insuline, restent très « primaires et approximatifs » et il est très difficile pour le patient de maintenir au jour le jour des moyennes glycémiques physiologiques normales.

Cette complexité, associée à la charge émotionnelle quotidienne de la maladie, se traduit par une importante source de stress et s’accompagne parfois par une diminution de « l’observance » de la surveillance glycémique et dans les cas extrêmes, du traitement même à base d’insuline.

Les phases d’hyperglycémie sont la cause principale de ce déséquilibre
et contribuent de manière significative à l’apparition de complications secondaires sur la durée. 

De nouvelles solutions complémentaires aux traitements actuels, dont le but serait d’améliorer significativement les moyennes glycémiques tout en simplifiant la gestion quotidienne de la maladie, sont donc nécessaires.

Les hyperglycémies survenant après la prise d’un repas (post-prandiale (PP)) représentent la majeure partie des hyperglycémies quotidiennes du fait de leur persistance sur plusieurs heures.

Réduire cette durée reste l’approche la plus simple afin d’améliorer l’équilibre glycémique des patients diabétiques de type 1 (DT1)4.

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