En 2018, le diabète de type 1 s’invite brutalement dans le quotidien de la fille de Jean-Noël Gouze.  Elle doit désormais apprendre à adapter les gestes de son quotidien aux différents traitements et à leur mode d’administration.  Sa façon de vivre s’en trouve drastiquement modifiée.

Une fois l’onde de choc passée, elle découvre également la complexité qu’éprouvent tous les patients diabétiques à maintenir jour après jour, des moyennes glycémiques physiologiques.

Malheureusement, aucun traitement et / ou dispositif médical ne permet de faire face à cette difficulté quotidienne des patients diabétiques.

De par son expérience scientifique à la fois dans la recherche publique et privée pendant plus de 20 ans, Jean-Noël développe alors une solution permettant à sa fille de mieux gérer la charge émotionnelle liée à la maladie, notamment en anticipant et en réduisant les fameuses hyperglycémies post-prandiales (PP) qui ont un véritable impact sur la qualité de vie et l’état de santé.

Après des premiers tests concluants, une nouvelle étude est réalisée dans deux hôpitaux pour valider à plus grande échelle ces résultats.

M-DT1 venait de naître.